• le castor : architecte, plongeur et bâtisseur

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le castor : architecte, plongeur et bâtisseur

    Notre ingénieur

    le castor : architecte, plongeur et bâtisseur

     

    Notre ingénieur e

    Notre ingénieur en puissante physique hydraulique avait sauté les cours du soir sur les forces interactives,  celles bien invisibles de la forme de l’arc qui contrecarre celle de la poussée de l’eau… cette voûte qui reporte les forces de l’ouvrage sur les flancs de la vallée.
    Il ne connaît toujours pas les principes de la résistance des matériaux.
    Personne ne lui a appris à faire un barrage… la masse volumique de l’ouvrage qui résiste et annule la pression de l’eau descendante. Ouf !
    Notre fabriquant de digues de papier mâché, tisseur de brindilles de pacotille,  hydraulicien des ruisseaux du dimanche est végétarien « bio » du saule qui pleure, du frêne, du peuplier …le peuplier « tremble » qui bruisse et chante avec le murmure du vent et de la cascade…
    Il connaît pourtant sans examen l’équation du carré de l’hypoténuse multiplié par la somme des côtés de l’âge du capitaine et des pieds de la danseuse…parce que « tout castor plongé dans un liquide ressort…mouillé ! » Nous a t-on hurlé au sortir d’un plan d’eau ! Il sait aussi faire monter, exhausser le niveau de l’eau pour agrandir sa piscine privative
    Et pour couper une branche dans les fins fonds du bois, notre bûcheron des forêts a des dents de tronçonneuse à faire frémir une palanquée de dentistes…

    Il a du sang de constructeur, l'âme de l'architecte, le Q.I. de l'ingénieur…

     

     


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  • Oui ! Professeur-papa...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    la leçon de vol à voile…

    Oui ! Professeur-papa...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « Petit ! » : tu vas plonger dans le vide… prend un peu de vitesse,

    serre les fesses et ensuite, tu te stabilises…

    bien dans l’axe, l’axe du vent…

    toujours de face, le vent !

    Il réduit ta vitesse relative par rapport au sol !

     

    Et pour ton virage, le 1er virage… appuie bien sur l’aile… du côté où tu veux tourner !

     

    Puis l’approche… doucement ! le plus délicat : c’est toujours l’attéro !

    tu doses ton freinage très progressivement. Ouvre les plumes, toutes, comme les doigts de la main… Freine ! et sort les pattes (le train !) : elles freinent aussi !

     

    Ouvre bien grand ! Fait un joli arrondi et poses toi comme une fleur…

     

    Ouuuuuuuuuuf !

    « tu sais, Papa… je le savais déjà dès la naissance… »

     

    Jean-Jacques LINCK   extrait de « FANFARONNADES »

    Oui ! Professeur-papa...

    https://www.facebook.com/pages/Fanfaronnades/628926623896445

    http://www.societedesecrivains.com/librairie/livre.php?isbn=9782748356533


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  • adepte du bronzing…

    encore un peu de Soleil...

    C’était il y a peut-être 150 millions d’années… et des poussières… au crétacé… du jurassique supérieur, bien sûr !

    Ce reptile au sang froid sorti au soleil des fins fonds des forêts tropicales humides… est un grand fanatique de la chaleur…

    Il a du naître dans une rôtissoire sur des charbons ardents !

    Il carbure au mercure du thermomètre ! A la bronzette !

    Et depuis qu’il se fait dorer la pilule… ses couleurs « mordorées » foncent encore avec l’âge… du brun doré au doré bronzé – bruni – cramoisi…

     

    Notre végétarien de la préhistoire puise toute son énergie dans la lumière et le soleil.

     

    Cet adorateur du Dieu Soleil est aussi le roi du mimétisme encore plus près du ciel…

     

    Jean-Jacques LINCK extrait "FANFARONNADES"  3 dessin Yves Urbain

     

    https://www.facebook.com/pages/Fanfaronnades/628926623896445

    http://www.societedesecrivains.com/librairie/livre.php?isbn=9782748356533


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  • Promenade sur les toits (extrait du Tome 1)

    "le chat est sur-équipé pour la grimpette... Mais...!"

     

    le chat funambule

     

    Alerte, danger, taïaut ! C’est la fuite de la dernière chance…

    La grimpette du chat dans l’arbre et sur le toit est fulgurante ! Ses griffes qui s’y accrochent sont des outils fantastiques. Ses pattes sont équipées anti-glisse et font pneu-neige, à clous, peau de phoque, crampons et chaînes pour s’agripper à la pente qui taquine la verticale…

    Au faîte, sur l’arêtière, il est funambule au royaume du ramoneur, de la cigogne ou du père noël. Il s’y assoit de fierté. Il surveille, mate, scrute. Dédaigneux de nonchalance…

    Dans le bâtiment, ce toiturier serait couvreur découvreur avec spécialité zingueur des gouttières dorées !

    Vous pouvez toujours le héler du bas… il vous toise du haut ! et domine le paysage.

    Heu !? pour redescendre ?

    « piste noire verglacée… »

    Promenade sur les toits (extrait du Tome 1)

     

    http://www.societedesecrivains.com/librairie/livre.php?isbn=9782748356533


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  • "une belle histoire inspirée de mon chien...

    qui avait fait évacuer de la cave toute la "ratellerie" du quartier!

    chacun son métier!"

     

    le chien ratier dans la cave

     

    Qu'on se le  dise !  Le brave chien ratier a fait fuir toute la ratellerie du quartier. Ciel ! Mon chéri !  Un rat se faufile subrepticement dans les fins fonds secrets de la cave. C‘est le diable des dessous de la maison…

    Ce fantôme des égouts est un grand savant des réseaux souterrains. Il doit être ingénieur

     

    en mystérieuses tuyauteries...

     

    Son corps est effilé comme la fouine, il a les quenotes du lapin  ou les ratounes du tigre.

     

    Sa queue est aussi longue et affûtée que son fuselage.

     

     

     

    Le roi de la cave connaît chaque tuyau et tous les fils électriques qui illuminent  la maison.

     

    Il déambule sur les tubes verglacés du pluvial dans les entrailles et galeries du sous sol .

     

    Il n'y a qu'un ennemi qui le fasse frémir : notre brave chien ratier, bête courageuse...

     

    Sus au rat !

     

    Maintenant, ils sont seuls,  bien en tête à tête, les yeux dans les yeux….

     

    La discussion doit être bien serrée, les propos salés !!

     

    Que s'est-il donc passé dans cette cave, dans la nuit profonde de cette souricière ?

     

    Plus de rat ; plus une seule trace du rat… mais aussi dans tout le quartier… désert de rats…

     

    tout ce petit monde s'est évaporé, escarapaté !

     

    C'est une question de compétences ! C'est un métier ... chasseur de rats !

    chacun sa spécialité !

    http://www.societedesecrivains.com/librairie/livre.php?isbn=9782748356533

     

     

     

     

     


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